ANALYSE DE L’OUVRAGE « L’AFRIQUE DANS LA PEAU » DE LITSE K. JANVIER :: AFRICA
© AFRIKSURSEINE : Ecrivain/Romancier Calvin DJOUARI | 07 Mar 2025 16:18:25 | 1475Note de lecture
Faire une note de lecture du livre intitulé « L’AFRIQUE DANS LA PEAU, POUR UNE PEDAGOGIE DU DEVELOPPEMENT » de Monsieur Litsé K. Janvier, économiste et ancien vice-président de la BAD, c’est retracer le parcours de son auteur. C’est également raconter l’histoire d’un homme dont le destin s’est construit à la croisée de plusieurs mondes, dont les points focaux sont les suivants : les réminiscences de jeunesse, les périples aux quatre coins du monde, l’inestimable richesse des rencontres humaines, l’Afrique en quête de renouveau, les grandes institutions financières internationales et les enjeux majeurs du développement économique. À travers cet ouvrage, l’auteur nous invite à un voyage introspectif, mêlant souvenirs personnels et réflexions profondes sur son engagement au service du continent. De son enfance, marquée par le brassage culturel et les défis de l’éducation, à ses années d’études dans des institutions prestigieuses aux États-Unis, il dresse le portrait d’un homme déterminé à bâtir un avenir meilleur. Ce livre, qui prend la forme d’une série d’entretiens, est mené par Roch Sosthène Nepo, un homme qui fut témoin d’une partie du parcours de l’économiste en Afrique de l’Ouest, où l’auteur a vécu les moments les plus marquants de sa vie.
Litsé Janvier débute son parcours professionnel à la Banque mondiale, où il se spécialise dans la gestion de la dette extérieure, avant de rejoindre la Banque africaine de développement (BAD), où il gravira tous les échelons jusqu’au poste de vice-président. Son expertise et sa vision font de lui un acteur clé des relations entre la BAD et les chefs d’État de la sous-région ouest-africaine, consolidant ainsi le rôle stratégique de l’institution. Dès la première page du livre, on remarque qu’il débute par un hommage familial et collectif : « À ma chère épouse, à nos chers enfants, puis à la jeunesse africaine. » Cette dédicace passe d’un ton intime (épouse et enfants) à une portée plus large (jeunesse africaine). Dans la première partie, il exprime une reconnaissance pour les sacrifices consentis par sa famille, notamment à travers l’expression « privations endurées », qui peut-être évoque les absences fréquentes d’un mari toujours entre deux avions, les dossiers complexes à étudier, ainsi que les défis conjugaux et familiaux à surmonter.
À la jeunesse, il adresse un message inspirant à travers l’expression « quête de repères », qui suggère un engagement intellectuel, éducatif et moral en faveur des nouvelles générations africaines. On trouve à la page suivante, un verset biblique qui attire l’attention : « Si le grain ne meurt. » Cette citation fait référence à Jean 12:24 : « Si le grain de blé tombé en terre ne meurt, il reste seul ; mais s’il meurt, il porte beaucoup de fruit. » La structure elliptique de la phrase lui confère une force expressive, incitant à la réflexion. Le grain symbolise ici le potentiel de vie et de fécondité, et la mort dont il est question n’est pas définitive, mais représente une transformation nécessaire pour porter du fruit. L’idée principale repose sur un paradoxe entre vie et mort : le travail, l’étude et l’effort sont autant de formes de sacrifices conduisant à une renaissance et à une multiplication des opportunités.
Puis survient une citation de Serge Soudoplatoff : « Quand on partage un bien matériel, on le divise ; quand on partage un bien immatériel, on le multiplie. » Ce parallélisme met en lumière l’opposition entre les deux types de biens et les effets contrastés du partage. D’un côté, un bien matériel (argent, nourriture, objets) est quantifiable et s’épuise lorsqu’il est partagé ; de l’autre, un bien immatériel (connaissance, idées, amour) s’accroît au contraire lorsqu’il est transmis. Cette réflexion possède une portée à la fois économique, en rapport avec la notion de bien, et philosophique, en raison de son lien avec l’immatérialité de la pensée et du savoir. Elle fait également écho aux principes du libre accès à la connaissance et à l’économie du partage.
Viennent ensuite les remerciements, où Monsieur Nkodo Théodore est cité en premier, suivi de Bonaventure Mbida Essama, ainsi que d’autres personnalités telles qu’Hippolyte Fofack et Diko Muketé. L’ensemble est sublimé par une préface du Dr Thomas Yayi Boni. Cette préface, à la solennité particulière, témoigne du respect et de l’estime qu’éprouve l’ancien président du Bénin pour l’auteur, qu’il qualifie avec gravité de « Frère ». Le Dr Thomas Yayi Boni recommande vivement la lecture de l’ouvrage, soulignant l’intérêt qu’il suscite et la richesse des enseignements qu’il offre. Il déclare notamment : « Le lecteur y découvrira une sorte de carnet de voyage, rendant compte des faits marquants ayant jalonné l’itinéraire, fort inspirant, d’un grand serviteur qui se sera voué corps et âme à la transformation de l’Afrique, encore souffrante, mais toujours battante et forte de ses atouts démographiques et des richesses que recèle son sol et son sous-sol. » Un passage puissant, mettant en exergue l’engagement total de l’auteur, illustré par l’expression « voué corps et âme », qui insiste sur son dévouement absolu.
Le choix d’un vocabulaire noble et engagé confère à cette préface une dimension solennelle. Cette introduction met en lumière l’itinéraire d’un « grand serviteur », une appellation qui suggère à la fois dévouement et grandeur morale. L’Afrique y est décrite avec lucidité, entre souffrances persistantes et optimisme quant à ses atouts. L’expression « encore souffrante, mais toujours battante » traduit cette dualité et donne une image dynamique et résiliente du continent. Enfin, l’auteur attire l’attention sur les ressources humaines et naturelles de l’Afrique, renforçant l’idée d’un avenir prometteur.
Un parcours exceptionnel, une trajectoire inspirante
La première question posée à l’auteur ne manque pas de pertinence : pourquoi cet homme, aujourd’hui à la retraite, parcourt-il le monde sans relâche ? La réponse fuse, marquée par la sagesse et le détachement : « Il n’y a pas de retraite à proprement parler, on change simplement d’occupation. » Dans la première partie du livre, l’auteur propose un récit autobiographique, une plongée dans son enfance, jalonnée de souvenirs et d’itinérances. Il évoque la figure marquante de son père, ancien militaire au service de l’armée française, qui vécut en Centrafrique avant de s’installer au Sénégal. Là, à Thiès, il exerça en tant qu’interprète au tribunal militaire et aurait même contribué à la mise en place d’une armée naissante du Cameroun, n’eût été les luttes d’influence qui gangrenaient l’essor du jeune pays indépendant. L’histoire familiale est aussi une odyssée du savoir, incarnée par son oncle instituteur, dont les affectations successives entraînèrent l’enfant aux quatre coins du Cameroun.
Né à Yaoundé, il le suivit à Nanga-Eboko, puis à Yoko, avant d’entamer une traversée vers l’Adamaoua et le Grand Nord, terres arides où la sécheresse impose sa loi. Dans ces régions reculées, où les écoliers rejoignent les bancs de l’école tardivement, souvent déjà adolescents, il trouva une forme de protection naturelle auprès de ses camarades plus âgés : « J’avais toujours auprès de moi de grands frères pour veiller sur le benjamin que j’étais. » L’internat fut le théâtre de mille anecdotes, parfois teintées de mystère. Un soir, un pressentiment impérieux le pousse à changer de place dans le dortoir. Quelque temps après, l’élève qui aurait dû être son voisin décède. Une coïncidence troublante, une intuition fulgurante que les siens, les Vouté, appellent le « Toc », cette perception instinctive du danger, semblable à celle des singes qui, dans la forêt, dévient spontanément de leur trajectoire pour éviter un piège. C’est en ces terres septentrionales, au sein d’une société majoritairement musulmane, qu’il fit l’apprentissage du vivre-ensemble. Là, l’égocentrisme était un concept étranger : entraide et solidarité régnaient en maîtres.
Son enfance fut studieuse, marquée par un goût prononcé pour les mathématiques et une passion pour le sport, notamment le handball, qui occupa une place essentielle dans sa vie. Il aurait pu être pilote, mais son destin en décida autrement. La partie autobiographique s’achève sur les mots imprégnés de fierté de son tuteur, Jacques Alim Kaigama, qui se remémore une confidence : « Au CM1, Janvier m’avait confié qu’il voulait devenir banquier. Je lui ai répondu qu’il fallait être un intellectuel, une élite, car on ne va pas à la banque à pied… Il n’a jamais redoublé. »Et de conclure avec admiration : « Je suis fier de son parcours et de son accomplissement. Il est la preuve vivante que, par l’abnégation, on peut réaliser ses rêves. »
L’appel de l’Afrique : la BAD comme terre de mission.
Le baccalauréat en poche, les portes de l’université s’ouvrent devant lui, vastes et prometteuses. Il embrasse des études en économie, multipliant les diplômes dans des institutions prestigieuses, notamment à l’Université de San Diego, aux États-Unis. Animé par le désir de contribuer au développement de son pays, il rentre au Cameroun, porté par l’espoir d’une intégration rapide. Mais celle-ci se révèle être un chemin semé d’embûches. Face aux obstacles, il prend une décision capitale : retourner aux États-Unis et intégrer la Banque mondiale. Ce sera son premier poste, le point de départ d’une carrière brillante. Très vite, il se spécialise dans un domaine stratégique : la gestion de la dette extérieure. Son expertise se forge au cœur des réalités économiques les plus complexes.
Il devient l’un des Africains les plus au fait des questions d’endettement. À la page 51 de son ouvrage, il confie : « J’ai touché du doigt les problèmes de rééchelonnement de la dette extérieure, pour avoir contribué aux exercices de rééchelonnement de la dette du Sénégal envers les clubs de Paris et de Londres. » Sa réflexion sur l’adéquation entre formation et emploi est tout aussi percutante. Il prend pour modèle les États-Unis, qu’il considère comme une référence en matière de pragmatisme éducatif : « L’un des avantages du système éducatif américain, c’est son caractère pragmatique, qui vaut bien son pesant d’or. Son côté empirique et pratique m’a permis de m’insérer sans difficulté dans le monde du travail. »
Un témoignage déterminant marque alors un tournant dans sa carrière. Théodore Nkodo, ex-vice-président de la Banque africaine de développement (BAD), perçoit en lui un potentiel inestimable et lui prodigue un conseil décisif : « Janvier, tu as des compétences et, à mon avis, tu ferais une brillante carrière à la BAD, où l’on a besoin de talents comme les tiens. » Il accepte le défi. Ainsi commence une longue et prestigieuse carrière au sein de l’institution panafricaine. Les responsabilités s’enchaînent : chef de division chargé des politiques sectorielles, superviseur de la qualité des opérations, directeur de département, directeur général pour l’Afrique de l’Ouest… jusqu’à atteindre le poste de vice-président. Son leadership inspire le respect. Théodore Nkodo en témoigne avec force : « Ce qui fait de Janvier Litsé un bon manager, c’est sa capacité à encadrer et à motiver ses équipes pour mener à bien une tâche. »
Au fil des années, il tisse des relations solides avec les chefs d’État de la sous-région Ouest-africaine. Nkodo poursuit : « D’après les rapports qui me sont parvenus, il a su établir des relations avec la plupart des chefs d’État ouest-africains. Cela est d’autant plus essentiel que la BAD est devenue, pour beaucoup d’entre eux, non seulement une institution de financement, mais aussi un précieux conseiller économique et financier. » Lucide sur la portée de ses fonctions, il ne manque pas de rappeler la dimension politique de la présidence de la BAD. Et lorsqu’il referme ce chapitre de sa vie, il le fait sans amertume, avec une sérénité absolue : « J’ai terminé ma carrière à la BAD sans aucun regret. »
Un homme, une leçon d’humilité
Le livre se clôt sur un hommage vibrant, celui d’Adji Otêth Ayassor, ancien gouverneur de la BAD et ex-ministre des Finances. Son témoignage résume en quelques mots la stature de l’homme : « Monsieur Janvier Litsé est un homme humble, doté d’une immense capacité d’écoute et d’un profond sens du soutien. »
Une vie, un parcours, un engagement
Le récit de Janvier Litsé est une source d’inspiration pour une Afrique en quête de leadership et de renouveau. Il y aurait encore tant à dire, mais l’on invitera les lecteurs à le découvrir par eux-mêmes, tant l’expérience relatée est riche. Toutefois, on ne peut pas classer ce livre comme un essai de sciences économiques à proprement parler, et le docteur Yayi Boni le souligne lui-même dans sa préface : « On ne retrouvera pas forcément dans cet ouvrage des réflexions très savantes ni des formules magiques sur tous les aspects du développement et du financement, dont sont friands les technocrates de haut vol des organismes multilatéraux. »
Moi aussi, je l’ai perçu ainsi. Ce n’est pas un ouvrage engagé comme Monnaie, servitude et liberté de Joseph Tchundjang Pouémi, qui analyse la monnaie comme un instrument de pouvoir et de contrôle et qui appelle à une prise de conscience des Africains sur l’importance de la souveraineté monétaire pour assurer leur développement économique et leur liberté. Ce n’est pas non plus un livre comme Le Prix de l’inégalité de Joseph Stiglitz, qui examine comment l’accroissement des inégalités économiques aux États-Unis nuit à l’économie et à la démocratie, en démontrant que cette inégalité est en grande partie due à l’influence disproportionnée des riches sur les politiques publiques. Stiglitz plaide ainsi pour des réformes visant à réduire ces inégalités, notamment par une fiscalité plus progressive et une régulation accrue des marchés financiers. On pourrait également évoquer Friedrich Hayek et La Route de la servitude, où il met en garde contre les dangers du collectivisme et de l’interventionnisme étatique. Selon lui, toute tentative de planification économique centralisée conduit inévitablement à une restriction des libertés individuelles et à un glissement vers le totalitarisme. Il soutient que le libre marché est le meilleur mécanisme d’organisation économique, car il permet une allocation efficace des ressources grâce à un système de prix décentralisé, reflétant les préférences et les besoins des individus.
Pour Hayek, une intervention excessive de l’État perturbe ces signaux et crée des inefficacités freinant la prospérité. Je regrette que ce livre manque de solutions tangibles ou de propositions concrètes pour réformer le système monétaire africain. L’ouvrage évoque l’endettement de certains pays africains. Cependant, il ne va pas assez loin dans l’analyse des causes profondes de cette dette. Si la question du rééchelonnement de la dette du Sénégal avec les créanciers internationaux est mentionnée, on peut regretter l’absence d’une critique approfondie du système économique international et des facteurs systémiques qui maintiennent les pays africains dans cette situation.
La problématique des prêts excessifs et des conditions imposées par les créanciers n’est que survolée, alors qu’une analyse plus poussée des dysfonctionnements des politiques d’endettement aurait enrichi le débat. L’ouvrage aborde certes les grands défis économiques de l’Afrique, mais il n’explore pas en profondeur les alternatives économiques possibles. L’auteur reste théorique et ne propose pas de solutions pragmatiques par des chiffres. Il aurait été intéressant d’entendre des réflexions sur la création de monnaies africaines alternatives, sur des systèmes de financement plus souverains ou encore sur les moyens de corriger les déséquilibres commerciaux persistants entre l’Afrique et le reste du monde. En l’état, l’ouvrage laisse une impression de constat sans véritables actions concrètes : les défis sont identifiés, mais les solutions restent floues.
Bien que l’ouvrage traite des défis économiques de l’Afrique, il est largement influencé par la perspective des institutions financières internationales comme la Banque mondiale et la Banque africaine de développement (BAD). Ce prisme, bien que pertinent, ne prend pas en compte l’ensemble des acteurs économiques africains, notamment ceux du secteur privé ou des initiatives locales. Une analyse plus équilibrée aurait permis de mieux comprendre les interactions entre les gouvernements africains, les multinationales et les institutions internationales dans le processus économique global. En somme, ce livre est avant tout un récit autobiographique, un témoignage qui retrace les parcours académiques et professionnels de l’auteur. Il a répondu aux questions qui lui étaient posées, et l’on ne peut pas dire qu’il manquait d’idées, mais plutôt que certaines thématiques essentielles n’ont pas été abordées en profondeur. Nous avons affaire à un économiste possédant plus de 25 ans d’expérience. Il aurait eu beaucoup à dire sur le plan scientifique, mais ce sont les questions fondamentales qui ont manqué, non les réponses.
Cela étant, c’est un premier ouvrage, et l’on peut espérer qu’un second sera plus axé sur l’analyse scientifique. Un prochain livre pourrait ainsi permettre à l’économiste de livrer une réflexion approfondie, dans la mesure où un album à la fin de l’album illustre les nombreuses rencontres internationales qui ont jalonné son parcours. J’aurais aimé que certaines questions soient abordées, notamment :
la Banque mondiale impose-t-elle un modèle de croissance favorisant l’endettement à long terme au détriment de l’autonomie économique des nations en développement ? L’économiste peut-il être un véritable acteur du changement ou demeure-t-il un instrument du système économique établi, même lorsque ce système produit des inégalités et de l’instabilité ? L’économiste africain a-t-il une responsabilité particulière dans la définition de modèles économiques adaptés aux spécificités culturelles, sociales et politiques du continent, ou doit-il adopter un modèle universel inspiré des expériences occidentales ?
Le maintien du franc CFA sert-il réellement les intérêts des pays africains en matière de développement et de croissance, ou perpétue-t-il un modèle économique obsolète entravant l’émergence d’une autonomie financière réelle pour l’Afrique ? Voici quelques-unes des interrogations que j’aurais aimé voir posées afin que l’économiste participe à un véritable débat intellectuel. Cependant, comme je l’ai dit, ce livre est avant tout un parcours initiatique. On en ressort enrichi d’une précieuse expérience de vie, tant sur le plan académique que professionnel, dont la mise en pratique peut inspirer et guider la jeune génération vers l’excellence.
N.B Majesté Litsé Janvier est chef du village Mba’am près de Yoko.
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