Les Avocats de Maxime Eko Eko Dénoncent les Allégations de Jeune Afrique : Mensonges et Diffamation
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Les avocats de Maxime Eko Eko, ancien patron de la Direction générale de la recherche extérieure (DGRE), ont vivement réagi aux accusations portées contre leur client par le journal Jeune Afrique. Dans un article publié le 31 janvier 2025, le média parisien a affirmé que des proches de Maxime Eko Eko auraient tenté d’influencer les parties civiles dans l’affaire Martinez Zogo. Ces allégations, qualifiées de mensongères et diffamatoires, ont été fermement démenties par l’équipe juridique de l’ancien directeur de la DGRE.

Selon Jeune Afrique, des proches de Maxime Eko Eko auraient approché les parties civiles, notamment l’ancienne épouse de Martinez Zogo et ses enfants, pour les inciter à se retirer de l’affaire. Le journal cite également des noms comme Jean-Claude Awala Wodougué et Samuel Mvondo Ayolo, présentés comme des intermédiaires dans ces prétendues manœuvres. Cependant, les avocats de Maxime Eko Eko ont catégoriquement nié ces accusations, soulignant qu’elles sont sans fondement et relèvent de la manipulation médiatique.

Dans un communiqué rendu public, les conseils de Maxime Eko Eko ont rappelé que leur client n’a jamais été inculpé pour complicité d’assassinat, contrairement à ce qu’affirme Jeune Afrique. Ils ont également dénoncé une violation des droits de la défense, notamment après la transformation de l’accusation initiale de « complicité de torture » en « complicité de co-action de torture » par le Tribunal Militaire de Yaoundé. Cette décision fait actuellement l’objet d’un recours devant la Cour d’Appel du Centre.

Les avocats ont également insisté sur le fait que Maxime Eko Eko n’a jamais mandaté qui que ce soit pour négocier avec les parties civiles. Ils ont qualifié ces allégations de fabrications destinées à influencer l’opinion publique et à nuire à la réputation de leur client. « Maxime Eko Eko réaffirme son innocence et sa confiance en la justice de son pays », ont-ils déclaré, tout en exigeant que Jeune Afrique publie un droit de réponse conformément à la loi.

Cette affaire, qui oppose Maxime Eko Eko à Jeune Afrique, soulève des questions cruciales sur la liberté de la presse, l’éthique journalistique et le droit à un procès équitable. Alors que les procédures judiciaires se poursuivent, les avocats de Maxime Eko Eko restent déterminés à défendre les droits de leur client et à rétablir la vérité.

Les conseils de Maxime Eko Eko ont réaffirmé leur engagement à lutter contre toute forme de déstabilisation ou de diversion. Ils ont appelé à un traitement juste et équitable de cette affaire, tout en mettant en garde contre les tentatives de manipulation de l’opinion publique. « La vérité finira par triompher », ont-ils conclu.

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