Une situation inédite et troublante s'est déroulée hier à la Morgue de l'Hôpital central de Yaoundé, où les proches d'Honorine Ngono Ayina Veuve Eyebe se sont rendus pour procéder à la levée du corps conformément aux procédures habituelles. À leur grande surprise, le corps n'était plus présent, provoquant une vive émotion parmi les membres de la famille déjà endeuillés.

Cette affaire mystérieuse a créé un précédent au sein de l'établissement médical, entraînant même le report des autres levées prévues ce jour-là. Les autorités hospitalières ont immédiatement pris conscience de la gravité de la situation et ont décidé de suspendre toutes les opérations de levée jusqu'à l'élucidation complète de cette disparition inexpliquée.

Face à la montée des tensions familiales, les forces de maintien de l'ordre ont été dépêchées sur place pour éviter toute escalade de la situation. Cette présence sécuritaire visait à garantir un climat apaisé tout en permettant aux enquêteurs de mener leurs investigations dans les meilleures conditions possibles.

Les proches de la défunte, encore sous le choc de cette découverte, expriment leur incompréhension face à cette situation sans précédent. La procédure normale de levée de corps étant strictement encadrée, ils demandent des explications claires quant aux circonstances exactes ayant conduit à cette disparition. Les responsables de la morgue sont actuellement auditionnés pour éclaircir les événements.

Ce cas soulève également des questions importantes concernant les protocoles de gestion des corps au sein des structures médicales camerounaises. Les experts en droit médical rappellent l'importance des formalités administratives rigoureuses lors des entrées et sorties des corps, afin d'éviter ce type d'incident dans le futur.

L'enquête est toujours en cours pour élucider cette affaire mystérieuse qui interpelle l'opinion publique. Les familles attendent désormais avec impatience les conclusions des autorités compétentes, espérant obtenir rapidement des réponses concrètes à leurs nombreuses interrogations.