AFFAIRE DE LA VRAIE EGLISE DE DIEU DU CAMEROUN: FORCE RESTE ET REVIENDRA TOUJOURS A LA LOI
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AFFAIRE DE LA VRAIE EGLISE DE DIEU DU CAMEROUN: FORCE RESTE ET REVIENDRA TOUJOURS A LA LOI :: CAMEROON

CEUX QUI DE L’INTERIEUR COMME DE L’EXTERIEUR SURFENT SUR DES REFRAINS INFAMES SELON LESQUELS LE CAMEROUN EST FINI ET ESSAYENT DE CREER UNE ANARCHIE ARTIFICIELLE EN USANT DES HAINES, DU TRIBALLISME, DE LA TRICHERIE ET DE LA FILOUTERIE POUR PREVALOIR, VIOLER LES LOIS, ABUSER DES GENS, USURPER DES TITRES ET DES STATUTS ET S’ENRICHIR, COMMANDER ET DETRUIRE, SERONT TOT OU TARD DECUS, DEFAITS, VAINCUS ET RAMENES L’ORDRE PAR LA VITALITE DES REALITES D’UN SYSTEME POLYVALENT BIEN DEBOUT CONTRE VENTS ET MARREES. LE CAMEROUN AVANCE ET AVANCERA

Le Tribunal administratif du Centre à Yaoundé a rendu le 29 novembre 2024, « AU NOM DU PEUPLE CAMEROUNAIS », une ordonnance de sursis à exécution, dans l’affaire qui opposait les dirigeants légitimes et légaux selon les statuts et le règlement intérieur originels, de l’association cultuelle « LA VRAIE EGLISE DE DIEU DU CAMEROUN », avec le MINAT. Très loin de n’être qu’une décision banale et routinière d’une instance judiciaire de la République, il s’agit d’un symbole fort, sublime, crucial et déterminant riche de renseignements et d’enseignements dans tous les sens du terme.

Nous étions ici dans une affaire des plus scabreuses, dont les conséquences, les implications ainsi que les ramifications de toutes natures, mettaient en péril, l’honneur, la réputation et la crédibilité de notre pays dans l’ensemble. L’association est en effet présente dans plus de quatre dizaines de pays et compte des dizaines de milliers de fidèles.

Au départ du feu, une association cultuelle comme il en existe une flopée, mais dans le cas d’espèce, une association qui a été patiemment bâtie en plus de sept décennies, par un visionnaire spirituelle et très pieux nommé NESTOR TOUKEA. 

-    Acte 1 : L’homme de dieu s’éteint et rejoint le royaume céleste
-    Acte 2 : Les statuts sont mis en mouvement, une assemblée générale extraordinaire se tient dans son sanctuaire à Mombo en 2021, et met en place une nouvelle direction conduite par un PCA, en présence des autorités administratives et sécuritaires
-    Acte 3 : Le procès-verbal est bien transmis au MINAT.
-    Acte 4 : On découvre plus tard, que le même individu, « Pasteur », qui a rédigé le Procès-verbal, a fabriqué un autre Procès-verbal, dans lequel il s’impose comme le vrai patron de l’Association. Le complot semble avoir été ourdi longtemps avant, c’est-à-dire du vivant même du guide TOUKEA, et cela avec la complicité de certains hauts cadres du MINAT.
-    Acte 5 : Les séditieux, commencent alors une véritable cabale pour un coup d’Etat interne. Mensonges, falsifications, violences, trafics divers, dénonciations calomnieuses et diffamations. Rien n’est laissé au hasard. Ils font savoir à qui veut les entendre, qu’ils sont soutenus à la présidence de la république, font jouer des supposés affinités avec la région de l’EST du pays et se disent intouchables.
-    Acte 6 : Le clou, c’est une fausse assemblée générale extraordinaire, prétendument tenue à Ayos. Mais alors, un arrêté du Sous-préfet a tout interdit et tué la manœuvre dans l’œuf, suivi d’une mise en garde ferme du préfet en personne.
-    Acte 7 : Mais quand un voleur ou criminel est décidé à agir, il se comporte en drogué et rien ne peut l’arrêter ni le décourager. Les séditieux sortent du chapeau, « un bureau exécutif », qui serait issu de leur assemblée générale extraordinaire, INTERDITE. Notons que les statuts prévoient eux, plutôt un CONSEIL D’ADMNISTRATION ». 
-    Acte 8 : Le PCA et son équipe, solliciteront en vain une audience auprès du MINAT. Au contraire, le dit MINAT écrira une lettre aux séditieux d’Ayos, pour reconnaître leur invention troublante sans queue ni tête de bureau exécutif. 
-    Acte 9 : Usant et abusant de cette lettre, les séditieux, qui comptent dans leurs rangs plusieurs hauts magistrats, des commissaires de police et des colonels, vont passer à la vitesse supérieure : expulsions des légitimistes des assemblées patiemment construites par ces derniers avec leurs familles ; violences ; voies de fait ; refus de toute médiation ; défis à l’endroit de quelques autorités qui tentent de les raisonner ; occupation des œuvres, écoles, collèges et foyers ; manœuvres abjectes et malsains pour bloquer les procédures devant les tribunaux.
-    Acte 10 : Le Tribunal administratif du Centre, saisit d’un recours le 14 mars 2024, par les légitimistes d’une requête de sursis à exécution contre l’Etat du Cameroun/MINAT, accède à leur demande en rendant l’ordonnance N° 33/OSE/CAB/PTA/YDE/2024 du 29 novembre 2024.

Tout ceci est incontestable. Ceux qui prétendent qu’ils peuvent tout faire au Cameroun, parce que dans leur petit cerveau, le pays est fini, je les invite à plus de sagesse. Force reste et reviendra toujours à la loi, parce que la vérité ne meurt jamais, ce sont les menteurs qui meurent./.

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