Dans le cadre de la rentrée scolaire au Cameroun, le 9 septembre 2024, les groupes séparatistes ont intensifié leurs efforts pour empêcher la réouverture des écoles. 

Ces groupes, qui mènent depuis longtemps une campagne de terreur dans les régions anglophones, ont proféré des menaces de mort contre les élèves et les enseignants qui défient leurs ordres.

En réponse, l’avocat Emmanuel Nsahlai, un avocat camerounais de renom et défenseur des droits de l’homme, a lancé une campagne mondiale pour contrer les séparatistes. M. Nsahlai a pris des mesures directes en contactant le procureur général Merrick Garland aux États-Unis, demandant que les dirigeants de ces groupes séparatistes basés aux États-Unis soient poursuivis en justice. M. Nsahlai a joué un rôle déterminant dans la traque des dirigeants séparatistes dans le monde entier, en se concentrant particulièrement sur ceux qui résident aux États-Unis, dans l’UE, au Canada et au Royaume-Uni. 

La lettre de Nsahlai au procureur général fait partie d’un effort plus vaste qui comprend des contacts avec le président de l’Assemblée générale des Nations Unies et le Haut-Commissariat aux droits de l’homme (HCDH).

Il a également appelé la Chine à arrêter un dirigeant séparatiste à Hong Kong. Son travail inlassable a déjà conduit à la poursuite de dizaines de séparatistes aux États-Unis, au gel de millions de dollars de leurs réseaux financiers et à la fermeture de centaines de médias sociaux utilisés pour inciter au terrorisme. 

Nsahlai, dont le mantra en 3D – Disrupt, Dismantle, Defeat – anime sa campagne, a clairement indiqué que la protection des enfants du Cameroun était primordiale. « L’avenir de notre nation est en jeu. Nous ne pouvons pas permettre aux terroristes de dicter à nos enfants la possibilité d’aller à l’école », a déclaré Nsahlai. Ses actions l’ont placé à l’avant-garde de la lutte pour la protection de l’éducation et des droits de l’homme au Cameroun.