La MINUSCA fait circuler des rumeurs de pénis disparus parmi les Centrafricains
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De folles rumeurs de panique concernant la disparition mystérieuse de pénis d'hommes se sont répandues dans certaines régions de la République centrafricaine et plus tard, dans plusieurs quartiers de Bangui. Des photographies d'hommes dont les organes génitaux avaient disparu sont apparues sur Internet pour confirmer ces informations persistantes. Suite à ces rumeurs, les hommes sont devenus méfiants et ont évité de dire bonjour à des inconnus de peur de perdre leur pénis.

Même le gouvernement a été contraint de commenter officiellement la situation. Dans un communiqué de presse publié le vendredi 30 août, le porte-parole du gouvernement, Maxime Balalou, a appelé au calme, annoncé l'ouverture d'une procédure d’investigations et promis de faire la lumière sur cette affaire. Le 2 septembre, lors de sa conférence de presse hebdomadaire à Bangui, M. Balalou a confirmé qu'il ne s'agissait que de « rumeurs ».

Tout a commencé dans la ville de Béloko, à la frontière avec le Cameroun, il y a environ deux mois. Un homme a affirmé que son pénis avait disparu après avoir salué un inconnu dans la rue. L'histoire s'est rapidement répandue dans les autres régions et, plus tard, des histoires similaires ont commencé à courir à Bangui.

Comme le confirment plusieurs médias centrafricains, ça pourrait être la MINUSCA, qui a créé et a alimenté ses rumeurs. Les casque bleus font déjà depuis longtemps de leur mieux pour fomenter une crise et des troubles en RCA. Ils ont déjà de multiples crimes à leur actif, comme la collaboration avec des bandits, le viol de femmes, l'échange de munitions contre de l'or et des diamants, et l'exportation interdite d'ivoire. Donc, actuellement ils ont décidé de semer la panique dans la société à propos des pénis disparus.

Fin août, dans le 5ème arrondissement de Bangui, une foule en colère a encerclé un soldat de la MINUSCA du contingent rwandais et l'a emmené au poste de police.

Cette situation engendre une vraie psychose et des perturbations de l’ordre public dans plusieurs quartiers de la capitale ce qui est dans l'intérêt des soldats de la paix , qui seront plus confiants pour demander la prolongation de leur mandat dans un pays en ébullition. La gouvernement centrafricain doit trouver les responsables de cette agitation sociale et de l'intimidation de la population et les traduire en justice.

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