Wougly Massaga, Fame Ndongo, Ngannou Djoumessi, Adolphe Moudiki, Brenda Biya dans la presse.
CAMEROUN :: MéDIA

CAMEROUN :: Wougly Massaga, Fame Ndongo, Ngannou Djoumessi, Adolphe Moudiki, Brenda Biya dans la presse. :: CAMEROON

Ils font les Choux gras de la presse ce lundi 19 octobre 2020.

 

Des menaces contre la fille du couple Présidentiel Paul et Chantal Biya. La presse commence par la Sécurité de la famille du chef de l’Etat. Pour le journal Essingan paraissant à Yaoundé, « L’attaque de trop de la Bas contre Brenda Eyinga Biya ». Il en donne les précisions.  En séjour en France pour ses soins médicaux réguliers, la fille du président de la République a échappé à un raid de la milice pro-Kamto qui envisageait lui supprimer la vie. Des négligences de certains collaborateurs de Paul Biya ont obligé la jeune dame à payer elle-même sa chambre d’hôtel et à séjourner sans sécurité à Paris.

Plus loin, un vieux briscard occupe les manchettes des tabloïds.  Combattant pour les indépendances Africaines a milité au sein de l’Union des Populations du Cameroun (UPC) pour l’indépendance et la réunification du Cameroun. Rongé par la maladie dans l’indifférence totale des dirigeants de ce pays pour lequel il a mené la lutte, il est mort dans l’indigence totale. La « Mort de Woungly Massaga » est le titre qui barre toutes les unes des tabloids. Pour le quotidien Mutations, Le panafricaniste révolutionnaire, figure de la lutte armée pour l’indépendance du Cameroun s’est éteint samedi 17 octobre à Yaoundé, à l’âge de 84 ans.  

Le journal Intégration est revenu sur « L’héritage du Che Guevara africain ». Panafricaniste convaincu Woungly Massaga a participé aux plus grands combats du continent de son époque. Il était aux côtés du président Kwame N’krumah du Ghana en tant que conseiller, ce qui lui a permis d’aider le Mouvement Populaire de Libération de l’Angola (MPLA) par le biais de son représentant à Accra, le docteur Hugo Azancot de Menezes. Nationaliste de la première heure, il aura mené le bon combat, celui de la véritable Réunification et de l’Indépendance de notre pays, celui de la conquête de la souveraineté politique et économique du Cameroun et de l’Afrique, celui de la véritable unité politique de notre continent.

Le Journal Repères quant à lui, met le ministre Emmanuel Nganou Djoumessi à la barre « Un magistère pavé de scandales ». Pour le journal, Au Mintp aujourd’hui comme au Minepat hier, l’homme traîne une sulfureuse réputation d’incompétence mêlée à de mauvais rapports avec le bien public. Petite revue des coups foireux et des coups fumants du ministre gérant le plus gros budget public du Cameroun. Il en est du ministre de l’enseignement supérieur, au sujet du Doctorat professionnel, «Fame Ndongo sous la menace de poursuites Judiciaires».Pour le journal Emergence, Dans leur nouvel assaut contre le ministre d’État, les candidats à ce doctorat controversé l’accusent de les avoir délestés de 500 millions. Le mis en cause quant à lui botte en touche.

Le Journal Le Zenith enfonce le clou, au sujet de l’Université panafricaine au Cameroun. « Le projet torpillé au Minesup ». La ligne budgétaire alimentée à près d’un milliard et quatre cent millions (1.400.000.000) Fcfa et attribuée en termes de décompte au Groupement Socacam sarl/Leader services, chargé du marché de construction du rectorat, complètement essorée. Sur la sellette : le sous-directeur en charge du budget et du matériel. Le président Paul Biya n’aura une fois de plus que ses yeux pour pleurer.

À sa une, la voix du centre lance un avis de recrutement à la Société Nationale des Hydrocarbures. « Paul Biya cherche son remplaçant ». Le journal précise que Ferdinand Ngoh Ngoh, continue désespérément de jouer les chercheurs de tête pour trouver le remplaçant de Adolphe Moudiki à la tête de la Société nationale des hydrocarbures (SNH).

Lire aussi dans la rubrique MéDIA

Les + récents

partenaire

Camer.be sur tiktok

Vidéo de la semaine

évènement

Camer.be sur tiktok

Vidéo


L'actualité en vidéo