Un accord cadre de partenariat a été signé entre l’entreprise de téléphonie mobile et l’université. Au menu, la digitalisation de l’enseignement supérieur et la promotion de l’entrepreneurship.

Réduire la fracture numérique.

 Il s’est agi pour orange Cameroun, accompagner l’économie du savoir qui a fait son lit dans l’enseignement supérieur, et à réduire la fracture numérique. C’était le 18 mai 2018 dans cette salle des actes de l’université. Ou s’est vu concrétiser, au bout de nos plumes, sous la forme d’un document d’accord-cadre de partenariat, les résultats de longs mois d’échanges.

Comment ne pas saluer l’engagement des deux parties, Orange Cameroun et l’Université de Dschang, à bâtir ensemble un avenir des plus prometteurs. Un engagement qu’a pris l’université de Dschang dans la recherche et d’appui au développement en se rapprochant toujours « asymptotiquement de l’essentiel », c’est-à-dire proposer le meilleur du capital humain que nos pays désirent pour se développer pleinement.
 
Connecter les 10 régions du pays.

Pour une université qui est territorialement présente dans 06 des 10 régions du pays : « Nous sommes présents à Maroua, à Bambui, à Ebolowa, à Bélabo, à Yaoundé, à Bafia, à Foumban, à Bandjoun et à Dschang. Nous avons ici, dans la plus nationale des universités camerounaises, une expérience unique d’intégration. Ses huit établissements (IBAF, IUT-FV, FMSP, FASA, FS, FSJP, FSEG, FLSH) dans lesquels sont inscrits 30 000 étudiants encadrés par 478 enseignants et 710 personnels non enseignants, font la force de son offre »

Digitalisation.

 Bien plus et il faut le souligner, cette convention de portée générale, va permettre, entre autres objectifs, de soutenir le don présidentiel de 500.000 ordinateurs aux étudiants camerounais. Et puis surtout comme l’a souligné Frederic Debord, le Directeur général de Orange Cameroun « Il s’agit  pour les deux parties, d’aller plus en profondeur, au plus  près des besoins spécifiques de l’Université de Dschang,  afin de   donner un contenu concret à ses attentes. L’enjeu principal est celui de la digitalisation, qui fait référence aux problématiques de connectivité »